Le lundi 7 avril, l’ACLEF a participé au colloque sur le mal-logement des jeunes, organisé au Sénat à l’initiative de la sénatrice Antoinette Guhl. Aux côtés d’acteurs associatifs tels que Caracol, L’Afev Paris et Cohabilis, l’association a présenté les solutions innovantes qu’elle met en œuvre pour répondre à la crise du logement qui touche fortement les jeunes et les étudiant·es.
Parmi les chiffres marquants évoqués, 13 % des étudiant·es auraient déjà renoncé à une formation faute de logement, selon l’UNEF (2023). Ce constat illustre l’impact préoccupant de la crise du logement sur les parcours éducatifs.
Ce temps d’échange a également permis d’ouvrir le dialogue entre associations, chercheur·ses et responsables politiques. Ensemble, ils ont exploré des pistes structurelles pour garantir un accès digne, durable et abordable au logement pour tous les jeunes.
Ce type de rencontre rappelle l’importance du plaidoyer dans la défense du droit au logement. En portant la voix des jeunes auprès des décideur·ses publics, l’ACLEF réaffirme la nécessité de mesures politiques ambitieuses pour faire du logement un levier réel d’égalité des chances.